Sens et reconnaissance
- elizcauseur
- 27 juin 2017
- 2 min de lecture

Satisfaire le client, proposer des plans de parutions ambitieux et gagnant/gagnant, faire découvrir les nouvelles offres à nos clients… autant de missions qui sont au cœur du métier de bon nombre d’entre nous !
Pourtant, depuis la réorganisation, avec la mise en place du CRM et des nouveaux outils, nos journées sont rythmées par le remplissage de notre CRM, l’envoi de mails, les reportings, les connexions « Join me » ou les négociations
« Arena », le suivi de San Marco, les aléas techniques de Khéops et la course aux objectifs…
Mais où sont passées les questions cruciales liées à notre métier ?
Quel sens peut-on dorénavant donner à notre travail ?
Et quelle reconnaissance en tirons-nous ?
A l’heure où la direction nous parle d’engagement, la Cgt Pages Jaunes-Solocal pose la question du sens et de la reconnaissance au travail, deux critères cruciaux pour préserver la santé des salariés et accroître la performance de l’entreprise.
La question du sens et de la reconnaissance au travail n’est pas que financière et la CGT milite pour un épanouissement individuel et collectif au travail.
Chacun d’entre nous a besoin d’être reconnu en tant qu’individu et pas seulement en tant que ressource !
Parce que social, santé, organisation et management sont indissociables, la CGT porte haut et fort le droit à chaque salarié de s’épanouir au sein de son métier et de son entreprise.
Il faut repenser des modes de management, d’organisation et de vie sociale chez Pages Jaunes pour créer un nouvel équilibre, intégrant la performance tant sociale qu’économique.
Pour cela aidez-nous à porter les revendications de la CGT :
- Défendre l’autonomie et l’identité personnelle en cessant toute forme de « flicage » par le biais des outils de l’entreprise ;
- Mettre un frein à la mauvaise utilisation d’outils technologiques, qui cannibalise les relations humaines et qui fragilise la frontière vie privée/vie professionnelle ;
- Sortir la reconnaissance du prisme de la performance en mettant en avant les initiatives personnelles et en offrant une marge d’autonomie suffisante pour qu’elles émergent ;
- Stopper la standardisation et la parcellisation des tâches et des relations qui peuvent faire perdre le sens du travail ;
- Limiter la communication descendante en développant des communautés de métiers par des rencontres régulières au siège et en région pour mieux penser les outils et le travail de demain ;
- Développer une meilleure appartenance à un groupe, à une entreprise en replaçant les salariés au cœur de la politique d’entreprise.